Le jeune Syndicat des Eaux Creusoises ambitionne de sécuriser la ressource en eau potable. Et avec Wiclic, il sécurise déjà ses outils informatiques. Présentation et avis.
Les clients professionnels sont une part importante de l’activité de Wiclic, et parmi tous ceux-là, le Syndicat des Eaux Creusoises. Derrière cette appellation, quelle est la mission de cette structure ? Sandrine Michaud, sa directrice, a bien voulu nous éclairer et nous donner son avis sur Wiclic.
Sandrine Michaud, quelle est la vocation du Syndicat des eaux creusoises ?
Nous sommes un syndicat mixte tout jeune, puisque né en mars 2023. A l’origine de cette création, il y a l’adoption d’un schéma d’Alimentation en Eau potable par le Conseil départemental qui définit des stratégies de gestion de la « ressource eau ». Il fallait ensuite une structure qui porte les investissements découlant directement de cette stratégie. C’est notre rôle, Syndicat des Eaux Creusoises.
On comprend bien que la ressource en eau est une problématique majeure, en Creuse comme partout. Comment intervenez-vous pour donner corps en quelque sorte aux orientations définies par le département ?
Pour dire simplement les choses, notre rôle est notamment de créer de nouvelles unités de production d’eau potable, à destination des structures publiques gestionnaires de l’eau (syndicats d’eau locaux, communautés de communes par exemple). Bien sûr, celles-ci disposent déjà de leurs propres réseaux et gèrent elles-mêmes leurs abonnés. Donc nous intervenons en amont, soit pour leur apporter une ressource complémentaire en eau potable soit pour les alimenter en totalité. Le syndicat est également compétent pour la protection de la ressource.
« Notre raison d’être, c’est notamment de créer des ouvrages qui vont aller chercher de nouvelles ressources de façon à sécuriser l’alimentation de nos membres en eau potable, en qualité et en quantité. La question de l’eau potable et du partage de la ressource est déjà un enjeu majeur. »
Puisque vous vous adressez à des communes, syndicats, qui disposent déjà de leurs propres installations, quelles peuvent être leurs raisons justement de vous solliciter ?
C’est très simple, on vit de plus en plus de périodes de sécheresse donc on voit bien que la ressource se réduit. Mais attention, on ne prend pas la place de ce qui existe déjà, on arrive juste en amont pour apporter plus de ressource en eau potable.
Une partie de notre travail, c’est justement de créer des interconnexions entre les différentes structures existantes. Aujourd’hui, plusieurs unités de gestion d’eau sont déjà adhérentes de notre syndicat, ce qui concerne environ la moitié de la population creusoise. A terme bien sûr, l’idée est que les autres unités de gestion d’eau nous rejoignent de façon à créer un maillage étendu à l’ensemble du département pour sécuriser ses besoins en eau. Mais le choix de leur adhésion leur appartient.
Sandrine Michaud est la directrice du jeune Syndicat des Eaux Creusoises.
Pour le moment, sur quelles installations vous appuyez-vous ?
Aucune : nous sommes encore tout jeunes et c’est justement ce qui va nous occuper ces prochaines années, mener à bien les projets de construction d’unités de production. Pour ce faire, il a fallu d’abord créer notre structure, d’un point de vue institutionnel, financier, faire des études de faisabilité, etc. Ça prend du temps. Ma collègue, Milène Decas, responsable technique, est arrivée en janvier dernier (2024). Aujourd’hui, avec le président Hervé Grimaud par ailleurs maire de Boussac bourg et 1er vice-Président du Syndicat Mixte Confluence Eaux, ainsi que l’ensemble des élus du comité syndical, le staff est au complet. On peut donc entrer dans le vif du sujet, soit de la commande publique et de la coordination de chantiers, au moins dans un premier temps.
Il vous fallait donc pouvoir compter sur des outils informatiques fiables et efficaces ? (sourire)
Oui, l’année dernière, pendant que Wiclic installait notre équipement, on finissait de créer notre structure. On a commencé avec un ordinateur ainsi qu’un NASS pour la sauvegarde. Quand ma collègue est arrivée, Wiclic nous a installé pour chacune une station fixe avec double écran ainsi qu’un deuxième PC portable. Puis la salle de réunion a été dotée d’un équipement pour visioconférence avec vidéo-projection.
« C’est sécurisant de savoir qu’il suffit d’un coup de fil pour que Wiclic arrive. »
Vous avez aussi opté pour le forfait maintenance en ligne ?
Oui, la maintenance ça fonctionne bien, on a un souci on les appelle, ça se solutionne en quasi instantané, ils prennent la main à distance, c’est moins de soucis pour nous à gérer et on apprécie. Par exemple, lorsqu’on a changé d’appellation, de « Syndicat Mixte de Production et d’Interconnexion d’Eau Potable de la Creuse » à « Syndicat des Eaux Creusoises », il a fallu tout modifier, les adresses mail, etc. On avait aussi notre site internet réalisé par un autre prestataire. Alors on s’est tous réunis autour d’une table pour solutionner le problème des adresses mail, la mise à jour du site et du nom de domaine, etc.
Finalement, à votre avis, Wiclic c’est un plus dans votre quotidien professionnel ?
En fait avec Wiclic, c’est presque comme si on avait notre propre service informatique. Ils sont à côté, ils se déplacent, c’est facile à vivre. Ils sont patients et savent se rendre disponibles. C’est une société qui sait se mettre à notre niveau et rester bienveillante.
Wiclic fournit au Syndicat des eaux creusoises :
– 2 postes informatiques fixes avec double écran
– 2 PC portables
– 1 NASS
– 1 maintenance informatique
– 1 vidéoprojecteur
– 1 équipement de visioconférence
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- Plus d’informations sur le Syndicat des eaux creusoises : www.syndicat-eaux-creusoises.fr
- Au 1er juin 2024, Wiclic devient Wiclic-Xefi Guéret. Lire l’interview du PDG, Cyrille Bertrand.
